Dans le faste du Palais Garnier, les petites incongruités de la représentation de la Traviata n'ont en rien troublé la beauté et la puissance émotionnelle de cet opéra de Verdi. (On peut toutefois se demander ce que vient faire une tondeuse à gazon dans le 2ème acte? le choix d'une chorégraphie saccadée pour les choeurs et le rapprochement avec Edith Piaf lorsque la poursuite éclaire la soprano d'un halo blanc)
La magnifique mélodie nous porte réellement tout au long de cette tragédie qui émeut au point d'en avoir les yeux tout embués (y'a tout plein de gens avec la larme à l'oeil au tombé de rideau! c'est tout mignon).
C'était la première fois que je voyais et entendais la Traviata et j'ai énormément apprécié! Les amateurs(trices) plus éclairé(e)s, habitué(e)s à la version de la Callas, ont visiblement trouvé cette version bien fade et il est vraie que Christine Schäfer peinait un peu dans les aigus...La magnifique mélodie nous porte réellement tout au long de cette tragédie qui émeut au point d'en avoir les yeux tout embués (y'a tout plein de gens avec la larme à l'oeil au tombé de rideau! c'est tout mignon).
Mais ça reste la Traviata et je ne peux que vous conseiller de le voir!!! (ou de réécouter la version de la Callas)
2 commentaires:
Bon, on a le droit d'être une tite ame sensible, non mais !
Mais bien sûr!!! au contraire !
J'ai trouvé la représentation très touchante aussi!
Ca y'est, j'ai comblé un manque. J'ai la version audio de la Callas! ça m'a tenu éveillé jusqu'à 3h du mat' hier!
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