Désolé pour cette pause bloguesque! Pour me faire pardonner voici une exclusivité ;-)
J'ai pu découvrir l'étrange histoire de Benjamin Button un peu avant sa sortie officielle, le 04 février prochain. Dans ce film fantastique de David Fincher*, Brad Pitt interprête le rôle de Benjamin, né vieux en 1918 et qui ne cesse de rajeunir au fil du temps. Cette belle fable est partie d'une simple phrase de Mark Twain: "Life would be infinitely happier if we could only be born at the age of eighty and gradually approach eighteen".
Nous suivons donc cet étonnant et touchant personnage tout au long de sa vie à contre courant. La magnifique Cate Blanchett ne peut lutter contre le temps... Ô amour impossible!?
Le film est vraiment très réussi et la photographie saisissante (d'ailleurs il y a 5 nominations dont meilleure photographie pour les Golden Globes qui ont lieu ce soir). Les effets spéciaux omniprésents dans cette surprenante métamorphose se font pourtant totalement oublier tant l'histoire est prenante. A la fin, il nous reste un tout petit sentiment dérangeant sur ce rapport au temps qui passe (un peu comme dans l'effet papillon mais en plus soft rassurez-vous).
Vous l'aurez compris, je suis conquis... alors courrez le voir dans les salles obscures en février!
*adapté d'une nouvelle de Scott Fitzgerald (~1920)
J'ai pu découvrir l'étrange histoire de Benjamin Button un peu avant sa sortie officielle, le 04 février prochain. Dans ce film fantastique de David Fincher*, Brad Pitt interprête le rôle de Benjamin, né vieux en 1918 et qui ne cesse de rajeunir au fil du temps. Cette belle fable est partie d'une simple phrase de Mark Twain: "Life would be infinitely happier if we could only be born at the age of eighty and gradually approach eighteen".
Nous suivons donc cet étonnant et touchant personnage tout au long de sa vie à contre courant. La magnifique Cate Blanchett ne peut lutter contre le temps... Ô amour impossible!?
Le film est vraiment très réussi et la photographie saisissante (d'ailleurs il y a 5 nominations dont meilleure photographie pour les Golden Globes qui ont lieu ce soir). Les effets spéciaux omniprésents dans cette surprenante métamorphose se font pourtant totalement oublier tant l'histoire est prenante. A la fin, il nous reste un tout petit sentiment dérangeant sur ce rapport au temps qui passe (un peu comme dans l'effet papillon mais en plus soft rassurez-vous).
Vous l'aurez compris, je suis conquis... alors courrez le voir dans les salles obscures en février!
*adapté d'une nouvelle de Scott Fitzgerald (~1920)
4 commentaires:
Mais comment as-tu fait ? (oublier)
Y a moyen de profiter de l'avant première ?! ;)
Comme les journalistes, je ne peux révéler mes sources...
Ca tient du miracle ;) Les voies d'internet sont impénétrables...
toujours (oublier)
snif... pas un Golden Globe(!) Dommage, le film le méritait pourtant...
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