Premier opus de Paul Auster que je lise, la Cité de verre nous plonge au coeur de New-York, thème de prédilection de l'auteur. Ce court roman écrit en 1987 est un jeu de mirroir entre identités, une mise en abîme perpétuelle.
Quinn, écrivain de série noire, reçoit un appel qui ne lui est pas destiné. Le correspondant cherche un détective... un certain Paul Auster. Quinn se fait passer pour lui et s'embarque alors dans une mystérieuse enquête sur un fanatique chrétien illuminé par la genèse et la tour de babel...
Bien que je ne sois pas vraiment emballé par le style et par l'intrigue, il faut bien reconnaître que j'ai hâte de connaître le fin mot de l'histoire, car tout ceci est bien étrange!
(je vous tiens informé lorsque j'aurais récupéré et lu les deux autres volets de la trilogie ;)
Quinn, écrivain de série noire, reçoit un appel qui ne lui est pas destiné. Le correspondant cherche un détective... un certain Paul Auster. Quinn se fait passer pour lui et s'embarque alors dans une mystérieuse enquête sur un fanatique chrétien illuminé par la genèse et la tour de babel...
Bien que je ne sois pas vraiment emballé par le style et par l'intrigue, il faut bien reconnaître que j'ai hâte de connaître le fin mot de l'histoire, car tout ceci est bien étrange!
(je vous tiens informé lorsque j'aurais récupéré et lu les deux autres volets de la trilogie ;)
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