Jeudi dernier, c'était soirée opéra avec La Femme sans Ombre de Richard Strauss. Et décidément, je n'accroche pas vraiment avec notre ami Strauss (cf Capriccio). La musique n'était pas désagréable; Bien qu'assez allemande (flon flon flon) des notes plus douces et amicales de violons et violoncelles venaient tempérer la mélodie mais j'ai toujours du mal à retenir quelque chose à la sortie.
Côté mise en scène, c'était assez géométrique et l'impératrice qui était censée avoir perdu son ombre en avait une très jolie grâce à cette poursuite qui l'éclairait en permanence (pas très judicieux). Trois teletubbies sont venus faire des pitreries pendant que des voix d'outre-tombe vous glaçaient le sang lorsque les enfants ont fait frire des poissons. Vous n'avez rien compris? C'est normal... j'ai eu du mal aussi avec l'intrigue X-)
Je me trouve assez critique au final. Pourtant cet opéra se laisse tout de même écouter. Mais ne vous forcez pas à y aller...
Côté mise en scène, c'était assez géométrique et l'impératrice qui était censée avoir perdu son ombre en avait une très jolie grâce à cette poursuite qui l'éclairait en permanence (pas très judicieux). Trois teletubbies sont venus faire des pitreries pendant que des voix d'outre-tombe vous glaçaient le sang lorsque les enfants ont fait frire des poissons. Vous n'avez rien compris? C'est normal... j'ai eu du mal aussi avec l'intrigue X-)
Je me trouve assez critique au final. Pourtant cet opéra se laisse tout de même écouter. Mais ne vous forcez pas à y aller...
Et à l'affiche sur le blog en férier: Orphée et Eurydice, Cardillac et Luisa Miller... (programme chargé!)
1 commentaire:
Bon, je vais en parler très vite ! c'est en mode brouillon...
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